L'air de se désintéresser de la chose, la femme n'en offre pas moins son sexe... La promesse discrète est une variation de la position du missionnaire. Dans cette dernière, la femme exhibe fièrement son sexe au désir de son partenaire.

L’homme répond à son invitation en s’asseyant à califourchon sur la jambe étendue de sa partenaire. Il se maintient en appui sur les bras pour orchestrer et rythmer les va-et-vient. Les sensations que procurent les caresses du pénis contre la paroi vaginale sont très différentes dans cette position que celles que procurent une pénétration directement de face ou de dos.

L’homme a tout loisir pour observer le corps et le visage de sa partenaire qui lui rend ses regards, mystérieusement, du coin de l’œil. Cette position si elle n’offre pas un grand contact corporel saura changer votre façon de vous regarder, de contempler les émotions de l’autre et les œillades de profils n’en sont pas moins suggestives.

Pour moi, un bon cunnilingus...

- Surtout, il ne faut pas mordre ! Mais vous pouvez me mordiller légèrement et seulement si je suis bien excitée !
- Soyez toujours attentif à mes désirs...
- Regardez moi dans les yeux, c'est très excitant...
- N'oubliez pas, de temps en temps, de vous servir de vos mains afin de caresser mes seins, mon ventre, mes cuisses, etc...
- Insérer un ou plusieurs doigts dans mon vagin (ainsi que mon anus... j'aime ça! )
- Prenez votre temps :le cunnilingus ne doit pas être une formalité. Il ne faut surtout pas que j'ai l'impression que vous voulez en finir au plus vite.
- Si vous sentez mon orgasme arriver, ne vous arrêtez surtout pas, même si vous fatiguez. Attendez qu'il soit totalement terminé, ou que je vous demande d'arrêter.
- Juste après l'orgasme, laisser moi un peu de répit avant de recommencer et surtout serrez moi dans vos bras, une couette,etc...c'est très apaisant !

Et pour vous ? une bonne fellation c'est quoi et comment ???

Racontez moi SVP...

Voici pour vous une histoire que m'a gentiment envoyée Sylvie...

Bonjour, je m'appelle Sylvie, j'ai 44 ans et suis mère de famille. Mariée depuis plus de 20 ans je suis donc au fait de la chose et avec mon mari d'abord, puis seule, j'avais déjà pris l'habitude de visiter régulièrement votre site pourtant, c'est la toute première fois que j'ose vous écrire.

C'est un événement passé et récent qui m'incite à le faire, à me soulager auprès de vous et peut-être, trouver une explication à l'attitude qui a été la mienne et qui m'a amené à coucher avec un autre homme que mon mari. Est-ce parce que c'est une situation que nous évoquions régulièrement lors de nos ébats amoureux et que je n'ai réalisé qu'après coup, ce qui venait de se produire ? Je l'ignore.

Depuis de nombreuses années déjà, nous fantasmions à ce sujet. Mon mari se plaisait à m'offrir virtuellement, à un autre homme et il était inutile pour ma part, tant mon état était éloquent, de dissimuler le plaisir que cela me procurait.

Nous avions abordé plus sérieusement cette éventualité mais lui tout comme moi, je pense, n'avions imaginé franchir le pas. J'étais vierge lorsque j'ai rencontré mon mari. Nous avions tout appris ensemble et sexuellement nous étions assez complémentaires. Toutefois, il semblait évident qu'il n'était assurément pas exempt du sentiment de jalousie et moi-même, trop pudique peut-être, je ne m 'imaginais pas capable de coucher avec un homme sans éprouver de sentiment. C'était encore vrai il y a 2 mois.

En mars dernier, après plusieurs années de relâche j'ai eu la chance (malgré tout) de retrouver un emploi dans un cabinet d'assurances. La jeune femme que j'étais appelée à remplacer, cessait son activité pour cause de maternité et la chance sonnait à ma porte. J'étais embauchée en CDD le temps du congé parental. Après plusieurs années d'inactivité, il me fallait remettre le pied à l 'étrier.

C'est ainsi que j'ai fait la connaissance de celui qui devait m'y aider mais qui allait être, aussi, l'objet de mes turpitudes. Dès que je l'ai vu, j'ai tout de suite senti qu'il pouvait être dangereux. Célibataire, beau garçon, beau parleur (évidemment) mais à 27 ans à peine je me croyais à l'abri de ce prédateur.

David était là pour me mettre en relation avec une clientèle déjà fidèle que je devais démarcher régulièrement. Cependant bien vite, je me suis sentie dépasser par l'ampleur de la tâche. Manifestement malgré son jeune âge, il était déjà bien intégré dans le circuit et faisait preuve d'un professionnalisme qui, au fils des jours, étalait de plus belle mon inexpérience. Le monde du travail a considérablement changé et je m'en rendais compte. Il en fût ainsi pendant plus de trois semaines, où chaque soir lorsque je rentrais, je me sentais au bord de la crise de nerf, pleurant parfois sur mon statut qui me paraissait de plus en plus précaire.

C'est vrai que financièrement c'était assez motivant et le fait d'apporter moi aussi, ma contribution à l'amélioration de notre vie familiale affirmer un peu plus mon autonomie. Puis un jour, à l'occasion du déjeuner que nous partagions, j'ai fait part à David de mon sentiment. J'étais au bord de la rupture. J'étais à des années lumières de ce que j'avais professionnellement connu etc...

Gentiment sa main se posa quelques instants sur la mienne et un frisson traversa mon corps. Simple geste amical ou première approche ? Je ne savais que penser. Sans que je m'en rende compte, cela il me l'avoua plus tard, il le remarqua. Nous nous tutoyions déjà, aussi je pris parti de le considérer comme un simple geste d'encouragement et nous avons continué à converser mais autant que je m'en souvienne, j'étais déjà troublée.

Nous étions en retard lorsque nous avons regagné notre voiture de société et c'est sans méfiance aucune que je lui ai tendu les clefs qu'il me demandait. J'étais plongée dans mes pensées, lorsque arrêté à un « Stop » il s'est soudainement penché sur moi et ses lèvres se sont posées sur les miennes. J'étais vraisemblablement ailleurs mais c'est vrai, j'ai mal réagi. Peut-être est ce inconsciemment ce que je souhaitais mais ma langue s'est enroulée à la sienne et je ne l'ai pas repoussé lorsque sa main s'est posée sur mon sein. Notre étreinte a duré quelques secondes et sans un mot, il a redémarré.

Je ne savais plus où me mettre, j'étais comme dans un brouillard. Il conduisait en silence, les deux mains sur le volant. Je me souviens avoir pensé à mon mari, mes enfants mais quand il s'est engagé dans un chemin creux, je n'ai rien dit.

Je me souviens de son sourire entendu, de sa main sur ma cuisse puis de nouveau, de sa bouche qui nous a unis dans un baiser passionné. De langoureuse, elle s'est faite plus vorace. Mon coeur battait « la chamade », ses lèvres posées sur mon cou m'affolaient tout autant que l'effluve de son parfum que je respirais. . Progressivement mon corps y répondait et il le découvrait.

Sa main glissée dans l'échancrure de mon chemisier, il a découvert ma poitrine, caressant le galbe de mes seins, jouant avec mes mamelons qu'il ignorait sensibles. Lorsqu'il a glissé sa main entre mes genoux, j'ai eu une pensée pour ma tenue désolante….sous ma jupe, élément de base d'une bonne représentante paraît-il, pas même de Dim-Up sexy. Non, un collant et une simple culotte gainante !

Mais sa main remontait, caressait et je sentais son contact maintenant entre mes cuisses. Mon ventre était un volcan, il se liquéfiait sous la pression de ses doigts. La jupe remontait sur le haut de mes cuisses, j'avais perdu toute pudeur. La partie était gagnée ou perdue, tout dépend, et nous le savions. J'ai coopéré pour sortir du véhicule dont l'exiguïté était avérée et me suis agenouillée tout comme lui, sur un imper qu'il a jeté au sol. Il faisait bon, les premières chaleurs du printemps. J'étais dans le même état.

Nous étions face à face, à côté de la voiture qui nous dissimulait de la route éloignée d'une vingtaine de mètres. Sans que je le réalise vraiment David avait largement découvert ma poitrine qui me révélait outrageusement et je saisissais l'indécence de ma tenue ! Lorsqu'il a crocheté mon collant pour m'en débarrasser, j'ai posé ma main sur son entre jambe. Sous le tissu, je sentais son sexe tendu. Comme un automate, je l'ai dégrafé lui aussi. Il portait un de ces shortys, en matière soyeuse qui moulait terriblement son membre.

Je réalisai fort bien ce qui était en train de se produire et par ce geste, j'affichais pleinement mon désir. Je ne l'avais encore jamais fait avec un autre homme, pas même lorsque j'étais adolescente, et nous étions allés trop loin. Il caressait mes fesses, mes cuisses, frôlait mon ventre. Sa bouche embrassait mes seins, m'embrassait.

La hantise d'être surprise et donc d'aller vite ou la peur de paraître « gourde » je ne sais pas, mais je me suis levée afin qu'il retire complètement mon collant qui me gênait et immédiatement, sa bouche s'est posée entre mes cuisses. Sa langue a couru entre mes lèvres. J'ai un sexe assez fourni que je ne dégarnis qu'occasionnellement à l'occasion des vacances et j'imaginais dans quel état je devais être. J'avais les fesses à l'air. Le corsage à moitié dégrafé. Et ses doigts qui me visitaient.

Lorsqu'il m'a retournée contre la voiture, j'ai bien eu cette pensée que j'allais commettre l'irréparable, que ce ne serait plus comme avant, que je trahissais mon mari mais aussi, j'éprouvai cette satisfaction de plaire encore et même, à de très jeunes hommes. Les rondeurs de ma taille et les quelques traces de cellulite contre lesquelles je luttais désespérément n'entamaient en rien le désir de David qui se frottait contre mes fesses. Ses doigts caressaient mon clitoris et oui, j'aimais cela. Ses doigts en moi ne pouvaient l'ignorer. J'avais envie de lui et je l'ai encouragé, souhaitant qu'il utilise un préservatif..

Nous nous sommes séparés et c'est à ce moment précis, lorsqu'il s'est tourné vers l'habitacle que j'ai pu mesurer la beauté de son sexe. Il était tendu à l'extrême, droit, le gland pourpre, la peau ambrée. Lorsque je me suis baissée sur son ventre, il a semblé surpris de mon initiative.

Je ne le cache pas, si je n'avais jamais goûté d'autre homme que mon mari, l'avoir fait est un des moments les plus forts qui reste ancré dans mon esprit. J'avais envie de lui plaire mais aussi d'essayer. Au début, je l'ai sucé timidement, tout en le caressant. Il n'était pas plus fort que mon mari mais me semblait très différent. Il avait une saveur différente. De sa main dans mes cheveux, il m'a guidé et j'ai fini par l'avaler entièrement. Il me parlait, soufflait. Je l'auscultais de la main, m'attardais sur ses bourses, l'épiais aussi, de crainte qu'il ne se laisse aller et j'appréciais le plaisir qu'il prenait.

Puis il m'a relevée, enfilé son préservatif et s'est accroché à mes hanches. il a pointé son sexe contre mon ventre et lentement m'a pénétrée. Il est resté quelques instants au fond de moi, sans bouger. Plus petite que lui, je me retrouvais dans une position que je n'appréciais habituellement guère avec mon mari, lui aussi de grande taille, mais elle offrait l'avantage de prévenir d'une arrivée impromptue.

Si je n'étais pas nue je n'en étais guère moins exposée. David avait ouvert totalement mon chemisier et découvert entièrement ma poitrine qu'il malaxait à pleine main. Ma jupe était retroussée sur mes reins et dévoilait mes fesses que je cambrais vers lui pour faciliter la pénétration. J'avais l'impression d'être plus nue, que nue. Pourtant, dès qu'il a commencé à bouger en moi, je m'en accommodai.

Je suis avant tout clitoridienne et plus longue à réagir à la pénétration mais c'était plus qu'agréable. Il était doux et violent à la fois. Il sortait peu mais me donnait de violents coups de reins auxquels j'ai fini par m'offrir.

Jamais avec mon mari je n'avais été aussi désinhibée. je ne prêtais plus aucune attention à ce qui se passait autour et j'étais réellement au bord de la jouissance quand David s'est lâché. Nous sommes restés quelques instants ainsi, l'un contre l'autre. Lui essayant de maintenir une érection que je sentais diminuer, moi à l'écoute de mon corps qui s'apaisait peu à peu.

Sur le chemin du retour, nous avons discuté. J'ai tenté de me disculper tout en reconnaissant que cela avait été agréable, j'étais mariée, que c'était la première que cela m'arrivait et que j'étais trop vieille pour lui etc...

Pourtant, comment être crédible lorsque profitant de l’arrêt de la circulation je répondais à ses baisers et que je me prêtais à ses caresses ?

Le soir, je n'ai rien dit à mon mari. Je n'ai pas osé lui avouer et si je culpabilise parfois, c'est aussi parce que ce qui aurait pu être un moment d'égarement n'a été tout compte fait qu'une tromperie de ma part. Je n'ai pas su refuser les déjeuners particuliers qu'à plusieurs reprises, j'ai passés avec David dans une chambre d'hôtel et pour lesquels, je m'apprêtais pour lui plaire plus encore quand il découvrait mes bas. Pour plaire, à un homme que près de 20 ans d'âge me séparait. Notre histoire a été courte. A peine trois semaines au cours desquelles, il m'a tant donné que je ne lui ai rien refusé.

Notre liaison a pris fin naturellement parce que nous en avions fait le tour et qu'il me semblait normal que nous retrouvions chacun nos repères. Lui, les jeunes filles de son âge et pour moi, la sérénité auprès de mon mari à qui je préfère pour l'instant, garder secret cet écart de conduite que je considère finalement bénéfique à notre couple.

Sylvie.

Je vais vous raconter une histoire, et plus précisément celle qui m'a fait découvrir l'adultère. Je tiens à préciser, que jamais mon mari ne s'est douter de quoi que ce soit... même aujourd'hui ! Il me croit toujours une femme fidèle !!! hum hum !!! S’il savait !!!

Il faut vous dire que lorsque j'ai rencontré mon mari, j'avais 16 ans et lui déjà 21. Il avait déjà connu des filles avant moi, alors que moi je n'avais eu aucune expérience sexuelle avant lui ! Je me suis mariée avec lui à l'âge de 21 ans et nous sommes partis habiter Bordeaux ! J'étais à la fac pour mes études et j'ai rencontré beaucoup de copains et de copines. Déjà à cette époque là, j'ai eu plusieurs fois l'occasion de tromper mon mari... mais jamais je ne l'ai fait !!!

Les deux premières années de notre mariage se passaient plutôt bien... Pendant les vacances scolaire il m'arrivait de travailler dans un centre de loisirs et j'y ai rencontré également de très bons copains et copines, tous aussi délurés les uns que les autres ! Cet été là, mon mari et moi sommes partis rejoindre certains de mes amis dans le pays basques pour quelques jours de vacances. Les parents d'une copine nous avaient laissé un immense terrain pour y planter nos tentes !

Pour la soirée, je m'étais habiller d'un petit short court et j'avais mis un t-shirt sans soutien gorge ! Le soir, on était tous autour du feu, à chanter, à boire, bref à bien s'amuser ! Vers trois heures du mat, tout le monde partaient se coucher dont mon mari qui avait mal de crane ! Je restais quant à moi près du feu seul avec un copain, Mathias... on a discuté de choses et d'autres. Puis vers 3h30, j'ai commencé à avoir froid... certainement la fatigue, mais je ne voulais pas aller me coucher ! Mathias, c'est alors levé et a ramené son duvet et moi je suis allé cherché le mien et par la même occasion, je me suis assuré que mon mari dormait bien ! Je retournais vers Mathias qui me proposa d'attacher nos deux duvets ensemble. Ensuite, on s'est emmitouflé dans le duvet, près du feu... j'étais allongée sur le côté et Mathias tout contre moi avait sa main sur ma cuisse et je sentais son souffle sur ma nuque ! Ça me faisait tout drôle, car c'était la première fois que j'étais couché avec un autre homme que mon mari... Mathias avec sa main toute chaude, me caressait délicatement la cuisse, et c'était vraiment une sensation très très agréable... mon cœur battait de plus en plus fort. J'avais envie que Mathias aile plus loin, mais je n'osais pas, ou je ne savais pas comment lui montrer ! Je restais encore toute timide... puis à un ment, je me suis retourné, je me suis mise sur le dos et on s'est regardé, tous les deux, en se faisant un petit sourire... Je sentais que ma petite culotte était toute mouillée ! Il continuait à me caresser les jambes, puis il passa entre mes cuisses pour remonter ensuite sur mon short ! Il le déboutonna, puis fit descendre la fermeture éclaire, puis très lentement il baissa mon short le long de mes jambes... je sentais ses mains chaudes sur mes cuisses, mon entrecuisse et remonter jusqu'à ma petite culotte... j'étais de plus en plus excitée, et je mouillais aussi de plus en plus ! Je ne me rappelle pas avoir mouillée de la sorte avec mon mari... Mathias me retira ensuite mon t-shirt... ça y est ! Je suis les seins nus devant lui et ça m'excite terriblement. Mes tétons sont tout durs. Pendant qu’ils me les embrassent, j'essaye péniblement de lui déboutonner son pantalon. Dans le duvet ce n'est pas très pratique, mais enfin j'y arrive avec son aide... Mathias fini de retirer son pantalon, et il n'est plus qu'en caleçon... à mon tour je le fais s'allonger sur le dos... je n'ai plus qu'une envie, c'est de voir son sexe !!! Je déboutonne maladroitement son caleçon, et le voilà enfin qui m'apparait, dressé comme un i, et impressionnant par sa taille ! D'ailleurs je ne peux pas m'empêcher de m'extasier devant son sexe, en faisant un   "Waaouu"...

Mathias quant à lui me retire, enfin, ma petite culotte qui est vraiment trempée, et enfonce dans ma petite chatte humide, un, puis deux doigts et avec un autre m'excite l'anus... je pousse quelques petits gémissements, en faisant attention de ne pas faire trop de bruit, car la tente où se trouve mon mari n'est vraiment pas loin !!! mais c'est difficile, car Mathias me procure énormément de plaisir... et j'ai déjà eu un premier orgasme ! Puis Mathias se met à changer de côté et se met en position de 69... je suis alors prise de panique, car je n'ai jamais fais de fellation à mon mari... Ce que je me refusais à faire jusquà présent à mon mari, voilà que je m'apprêtais à le faire à Mathias... et en plus j'en avais très envie ! Tous ce que j'espèrais c'était être à la hauteur !!! Au début, je lui ai lécher le gland délicatement, puis très vite, je me suis libérée en prenant son sexe à pleine bouche... et le pire, c'est que j'aimais ça !!! Mathias lui me brouttais le minou délicieusement bien... je sentais sa langue aller profondément dans mon petit trou alors que ses doigts titillait mon clito... un régal !!! on était tellement excité tous les deux, qu'on ne se rendaient pas compte que nos gémissements devenaient plus fort. Puis j'ai senti que Mathias allait jouir, alors j'ai mis son sexe entre mes seins puis il a fait quelques va et vient et il a fini par éjaculer sur ma poitrine et mon cou... j'avais plein de sperme sur moi, c'était quelque chose de nouveau pour moi, mais j'aimais sentir cette sensation de chaud !!!

Soudain, on a entendu des pas dehors tout à côté de nous ! j'ai tout de suite pensé à mon mari, j'ai sorti la tête du duvet discrètement, et heureusement ce n'était pas lui !!! c'était un copain qui nous matait ! On à fait comme si on ne s'en était pas rendu compte et on l'a laissé nous matter... Je m'essuyais les seins avec ma petite culotte et Mathias et moi reprenions nos débats... très vite mathias rebanda, il était de nouveau très excité, tout comme moi d'ailleurs ! je décidais de prendre tous les risques, en ouvrant la fermeture éclaire du duvet... c'est plus facile pour faire l'amour... j'étais sur le ventre et Mathias commença par vouloir me pénétrer ! Ma chatte était trop étroite pour son sexe, si bien qu'il du y aller tout doucement, mais dès qu'il m'a pénétré, je vous assure, ça a été le pied absolu... jamais je n'avais ressenti autant de jouissance à chaque va et vient... et on a fait l'amour jusqu'à 6h00 du matin... toujours sous les yeux de son copain qui nous observait et qui devait sans doute se branler... En tout cas, moi ça m'a procurer une excitation supplementaire qu'il puisse me voir toute nue à faire l'amour à son copain...  Quelle nuit ! je ne suis pas prête de l'oublier !